Présentation

Je suis né en 1962 à Chamalières (Auvergne, France). J'ai toujours été fasciné par les animaux. A l'âge de 12 ans, j'ai réussi à persuader mes parents de prendre un chien; ce fut le début d'une complicité qui m'accompagna toute ma vie. Par-dessus tout, j'apprécie les longues promenades avec un chien, de préférence avec plusieurs. Je choisis le lieu de mes randonnées en fonction de la possibilité d'y emmener mes chiens. Depuis le même âge environ, j'ai une autre passion, l'élevage d'agrément des animaux de compagnie. J'ai d'abord élevé des oiseaux de cage et de volière: ils ont l'avantage de tenir moins de place que les chiens, et surtout d'avoir un intervalle plus court entre les générations, ce qui permet d'améliorer plus rapidement les lignées. J'ai très rapidement rêvé d'élever des chiens. Le contact est tellement plus étroit avec eux ! Améliorer les chiens de race conformément au standard, constituer une souche, et surtout faire naître chez moi mes futurs chiens, voilà un rêve que je cherche à réaliser depuis tout ce temps. Avec les années, j'ai appris à apprécier la morphologie des chiens (et des oiseaux d'élevage !), à reconnaître les qualités et les défauts. C'est un exercice difficile dans lequel on apprend sans cesse, et c'est passionnant. J'ai eu le privilège de faire quelques secrétariats de ring en expositions, ce qui a contribué à ma formation. Produire ses propres jeunes selon ses propres critères dans le respect du standard est pour moi un très grand plaisir.
J'ai obtenu mon affixe en 1989, d'abord pour élever des Chiens d'Ours de Carélie. Je ne produis que peu de chiens, élevés en famille. Je tiens à mon statut d'amateur: d'abord parce que dans "amateur" il y a "aimer" ! Et surtout parce que la possibilité de produire des chiots seulement lorsque je veux en garder un pour moi, ou pour tester une combinaison, me laisse la place et le temps de les faire grandir dans un environnement familial avec une socialisation optimale, d'autant plus qu'ils côtoient les autres animaux (chats, oiseaux, parfois rongeurs) et les humains de tous âges de mon entourage.
Le Whippet partage ma vie depuis 1999. Je ne le regrette pas. Comment décrire toutes les qualités de cette race ? Je ne vais pas m'étendre sur un comportement particulier, présumé propre à la race: les chiens sont des Mammifères supérieurs, et vouloir résumer leur comportement à des stéréotypes raciaux c'est faire injure à leur personnalité. Le comportement du chien est l'expression de ses gènes, bien sûr, mais surtout le résultat de son vécu ! Par contre ce qui m'a toujours séduit chez le Whippet, c'est cette alliance subtile de force et d'élégance. Avec un Whippet, vous pouvez être reçu dans les endroits les plus chics, faire la sieste sur les canapés les plus douillets, traverser des ruisseaux à la nage ou courir à perdre haleine dans la campagne: le Whippet est à l'aise partout, son sens du confort n'a d'égal que son goût pour le sport ! Bref, j'aime son look raffiné d'athlète modèle réduit ! Les regarder galoper est un enchantement, leur sommeil ferait envie à une marmotte, et ils sont câlins comme des chats ! Et avec ça ils sont si faciles à vivre... Mon rêve: que mes futurs Whippets soient nés à la maison, si possible les résultats de mes propres efforts de sélection dans le standard de la race.
Je vous souhaite une bonne visite de mon site.
photos Valérie Willers au cynodrome de Perpignan

A tous les chiens qui furent les compagnons de ma vie

Micky (1974-1986) Type Berger Belge Groenendael
Cognac (#1976-1992) croisé

Belle (1985-2001) Berger de Brie

Bilbo (1986-2004) Croisé (fils de Cognac).

Kitee (1987-1995) Chien d'Ours de Carélie

Clochette (1992-1999) type berger
(Sur la photo entre Belle et Fjord)
Mes Whippets
Dès les années 1980, je regardais mon chien (corniaud) Cognac, avec sa tête de Terrier mais une oreille portée un peu "en rose" et sa robe sable, et je me disais: "je devrais le marier à une Whippet, pour me garder un petit". Bien sûr il n'en fut rien, Cognac eut quelques bâtards, aucun conforme à ce souhait !
Mon premier Whippet arriva en janvier 1979, gràce à M. Ludovic Gérona, qui me permit d'avoir OYEZ-OYEZ de la Vallée des Baronnies. Ma fille Marie réclamait un chien de compagnie, je voulais un format assez léger, à poil court, élégant et facile, alors tout naturellement j'ai pensé à un Whippet ! Marie, trouvant son nom officiel trop compliqué, s'empressa d'en trouver un autre à la petite chienne: ce fut "Ophélie", mais on ne l'appellait que "Lili"
Lili avait déjà 6 mois à son arrivée. Elle avait peu d'expérience de "la vie", et était très timide. Il lui fallut longtemps pour s'habituer à sa nouvelle vie, et elle garda toujours une crainte de l'inconnu, de l'extérieur, des gens et des chiens. Toute sa vie, Lili détestait sortir. Avec elle, pas de promenades. Un simple aboiement au loin et elle détallait comme si sa vie en dépendait. Sa confirmation, à l'exposition internationale de Montpelllier, fut pour elle une expérience terrifiante, dans ce grand hall vibrant de multiples aboiements !
Bien entendu, vers 3 - 4 ans, je souhaitai lui trouver un mâle. Et, avec l'aide de M. Litarri, à l'époque délégué régional du club, j'en trouvai un. Mais Lili n'avait aucune envie qu'un inconnu s'approche d'elle (tout Champion qu'il fût) ! Terrifiée par les mauvaises manières de ce Monsieur, elle envisageait même de le mordre (mais pour cela, il aurait fallu le toucher, ce à quoi elle ne pouvait pas se résoudre !!). Chez les propriétaires de ce chien, médusés, elle se cacha sous une table basse, toute tremblante, menaçant son "fiancé" de le mordre chaque fois que lui, tout émoustillé par les odeurs qu'elle émettait malgré elle, tentait une manoeuvre d'approche. Scène digne d'un film comique de mauvais goût. Je me suis cru très malin: l'insémination artificielle, pensais-je, allait tout faciliter. Mais non, Lili resta résolument vide. L'année suivante, deuxième tentative, et la troisième année encore, avec un autre mâle cette fois. Chaque fois même scenario, sans résultat. Reconnaissant ma défaite, j'ai stérilisé Lili, qui n'a plus jamais été obligée de côtoyer des chiens inconnus, et s'en est trouvée beaucoup mieux. Plus jamais,... sauf quand mon frère venait en visite avec sa grosse chienne croisée Labrador: Lili avait beaucoup de mal a supporter cette envahissante cousine qui lui faisait très peur !
Lili mourut le 16 août 2011 (d'une insuffisance rénale), elle venait d'avoir 13 ans. Malgré ses phobies, je pense qu'elle aura passé une vie sereine, et même, à la fin, elle semblait apprécier la compagnie des autres whippets de la maison. Elle aura eu un peu de joie vers la fin de sa vie anxieuse.
En janvier 2008, je contactai M. Litarri, parce que j'étais décidé à franchir le pas, et à faire l'acquisition d'une chienne Whippet de 2 mois. Il me conseilla l'élevage familial de Mme Dye, à proximité. Je voulais une chienne LOF, sans bien savoir ce que j'allais faire avec elle, mais je savais déjà que j'aurais envie d'avoir une fille d'elle. Je pus voir la portée assez jeune, tous les chiots étaient bringés et panachés (deux couleurs qu'a priori je n'aime pas beaucoup) ! Mais ils étaient dans la cuisine, leur mère allant et venant dans la maison. Un mode de vie permettant de penser que ces bébés seraient bien socialisés. Et puis bien sûr j'ai craqué, et j'en ai réservé une. Incapable de faire un choix , j'optai pour la plus panachée (au moins, c'était celle qui avait le moins de bringeüres !). Je pus choisir le nom, et, en référence aux livres de Tolkien "Le Seigneur des Anneaux", ce fut ARWEN (pardon, "DAME" ARWEN, pour avoir l'initiale correspondant à l'année !). J'avoue que le fait que son père et ses grands-pères soient titrés (en beauté et en PVL) me laissait totalement indifférent.
A peine âgée de 2 mois, Arwen s'installa chez moi. Encore petite, elle ne fit pas peur à Lili, ni aux 3 chats. Comme elle était très sociable, elle aima d'emblée tout le monde. Je tombai sous son charme très vite: elle est tout ce que j'aime chez le chien, avec la grâce du Whippet en plus. Avec elle, tous les jeux sont possibles, elle n'a peur de rien, elle est prête à tout, toujours partante, et, finalement, très obéissante. Il y eut, bien sûr, quelques dégâts matériels, dûs à son envie de découvrir le monde (avec les dents de préférence), mais plutôt moins qu'avec les chiots de grandes races que j'avais eus avant elle. Et les longues promenades dans la garrigue ou les friches autour de mon village, quel délice ! Au début, son enthousiasme me permit d'y emmener Lili, qui se laissait convaincre. Mais, fatalement, un jours ou l'autre nous croisions un chien. Alors Lili partait ventre à terre, puis refusait de revenir sur les lieux de sa frayeur. Elle refusait définitivement d'y revenir. Alors, lorsque je fus incapable de trouver des endroits de promenades qui ne lui rappelaient pas de mauvais souvenirs, comme je ne voulais pas la tenir constamment en laisse pour l'obliger à y aller contre son gré, je la laissai à la maison (ce dont elle ne s'est jamais plainte). Et Arwen semblait trouver les promenades moins amusantes. Elle fait la fête à tous les chiens (ou humains) qu'elle croise, mais ils sont assez rares là où je vais.
A peine âgée d'un an, Arwen participa à sa première exposition. Moyen pour moi de la faire confirmer. Comme il n'était pas possible de l'inscrire en confirmation seule, je l'avais mise en classe "jeunes". Elle me bluffa en finissant deuxième Excellent (sur 5 femelles). Mais comme elle était confirmée et qu'elle n'avait pas montré pour l'expo un enthousiasme excessif (moi même n'en éprouvant aucun), je pensai mettre fin à sa "carrière".
Première portée

Pour des raisons personnelles liées à un déménagement que je savais proche sans pouvoir en prévoir exactement la date, j'avais décidé qu'Arwen aurait une portée le plus tôt possible, pour que ses chiots grandissent dans ma maison qui se prêtait bien à cette expérience. J'avais déjà trouvé le papa, un chien charmant, très bien élevé, vivant en famille comme chien de compagnie, mais issu d'illustres ancêtres. Je connaissais ce chien (UNTER von Hoëhenzoller), avant la naissance d'Arwen: en le voyant j'avais dit: "s'il a des petits j'en veux un !" Arwen, bien dans sa peau et épanouie en toutes circonstances, trouva que la saillie était une expérience satisfaisante: comme le mâle vivait à la maison pendant cette semaine, elle demanda à être saillie plusieurs fois par jour pendant plus d'une semaine. Et la gestation fut sans histoire, comme la maman. Elle continua ses jeux dans le jardin (avec Lili, qui dans son environnement habituel était très joueuse, ou sans Lili, lorsque celle-ci trouvait que la sieste avait bien plus d'attraits). L'accouchement fut normal, long comme il se doit pour une primipare, mais sans problème. Le 15 septembre 2009, Arwen expulsa 10 chiots ! Le premier ne résista pas, et un autre était mort avant la naissance. Les 8 autres grandirent sans problème. Les 3 premières semaines m'ont laissé un souvenir épuisant: Arwen, en mère "moderne", s'était mise au temps partiel dès la naissance: elle était très attachée à ses bébés, mais encore plus à un sommeil réparateur. Alors quand ils pleuraient, elle savait les laisser attendre. Du coup les tétées étaient plus rares que ce que les chiots et moi supposions. Par contre elle ne manquait pas de les nettoyer, de les lécher, profitant de ses (rares) visites à sa portée pour faire en même temps nourriture et toilette. Les chiots étant sous une lampe à infra-rouges ne souffraient pas du froid, mais ils ne grandissaient pas assez vite à mon goût. Alors le cycle (ou plutôt l'enfer) des biberons commença. Je n'ai jamais été fan de la puériculture ! J'ai trouvé un équilibre en donnant 1 (parfois 2) biberon(s) par jour, et les petits retrouvèrent une courbe de croissance conforme à mes attentes. Mon calvaire prit fin lorsqu'ils furent capables de manger seuls. Comme ils n'étaient pas vraiment en manque (c'était plus moi qui m'inquiétais pour eux), ils ne se pressèrent pas de manger, mais enfin une fois franchie cette étape, ils poussèrent comme des champignons. J'avais choisi ma "petite", Elanor (encore le "Seigneur des Anneaux"), et j'en étais content. C'est alors que ma fille Marie commença à me demander de garder son "chouchou", le petit Elendil. Lorsque les gens venaient choisir les mâles, je ne le montrais pas. Lorsqu'il ne resta plus que lui, il fut réservé par téléphone, mais la dame décommanda au dernier moment. Alors j'acceptai de le garder, pour faire plaisir à ma fille, mais conscient que le chien resterait avec moi. Cette augmentation imprévue du cheptel fut bien sûr conséquente, mais Elendil est tellement gentil que je n'ai jamais regretté. Il forme avec sa mère et sa soeur une meute unie très liée, c'est un plaisir de les voir ensemble. Lili a fini par accepter les 2 jeunes (sauf quand ils la bousculent dans son sommeil !). Elendil fut castré à 4 mois et demi parce que je ne voulais pas d'ennui quand les femelles seraient en chaleurs.
Les promenades sont un régal: les voir jouer comme des fous me remplit de joie, et, au retour, ils sont tellement sages ! Ils font tout ensemble, ne sont jamais seuls et paraissent très heureux (sans anthropomorphisme). Tout spécialement, Elanor et Elendil sont inséparables.
découverte de la PVL
intrigué par le bien que tout le monde m'en disait, j'étais tenté par la PVL, mais pas par la compétition (ce qui reste vrai quel que soit la discipline).
Gràce à René Ginestet (élevage de PLI "des Tendres Câlins") j'ai pu découvrir cette activité sur un terrain non officiel, pas trop loin de chez moi.
Je n'avais même pas envisagé de prendre Lili pour cette expérience, et elle n'a pas demandé à venir. Arwen et Elendil ont adhéré (et adoré) immédiatement. Elanor aimait beaucoup courir, mais les premières fois répugnait à me quitter. En deux séances elle a pris confiance, et les trois sont devenus "accros" !
Alors je me suis renseigné, j'ai contacté le Club dans lequel j'étais supposé leur faire passer leur brevet, l'addiction était en cours !
la cotation d'Arwen
Arwen avait eu une portée, deux de ses enfants étaient à la maison, tous adoraient courir, elle avait participé à 1 expo, 1 PVL, et je ne sais plus qui parmi mes nouveaux copains de terrain d'entrainement m'a fait remarquer qu'Arwen pouvait prétendre à la cotation 3.
Le temps de réaliser les choses, et j'ai fait les démarches pour faire enrgistrer ce titre. Dans mon innocence de novice, j'ai même téléphoné à la responsable des cotations à cette époque au Club de la race, pour m'assurer que mon dossier était bien arrivé. Il s'agissait de Mme Bourdin (élevage du Manoir de la Grenouillère). Je n'était pas assez "jeune" dans les whippets pour ignorer à quelle grande dame de la race j'avais affaire, j'étais fort impressionné. Et je fus tout surpris qu'elle me demande pourquoi je faisais valider la cotation 3, au lieu d'attendre la cotation 4 ! Je n'avais jamais envisager d'aller jusqu'à ce titre qui me paraissait si élevé ! La suggestion de cette grande éleveuse m'a amené à envisager sérieusement la question. Et, évidemment, quelques temps plus tard, Arwen était RECOMMANDEE ! Cotation 4, le Graal à mes yeux !
J'ai pris le temps de lire la grille de cotation, de remarquer à quel point elle était pertinente et efficace pour la sélection d'une "élite" de whippets plus abondante que les champions, donc plus efficace pour assurer la pérennité de la sélection de la race avec les deux critères de conformité au standard ET d'aptitude au travail, menés en parallèle et sans exclusive.
Depuis, je suis un fan inconditionnel de ce système de sélection par le club de race, je trouve que c'est le meilleur outil jamais inventé, et j'incite toujours les jeunes whippeters à faire coter leurs chiens !
Depuis, bien entendu, je fais coter tous mes chiens, selon leurs résultats !
Deuxième portée
Lors de la confirmation d'Arwen, j'avais eu un coup de coeur pour BEST ANGEL de l'Orlyne de Standerling (qui n'était pas encore le champion qu'il est devenu par la suite), et j'avais déjà demandé à son propriétaire s'il accepterait de me le prêter pour une saillie, dans un futur hypothétique... Et puis fin 2010, comprenant que j'en aurais le temps avant mon déménagement, je sautai sur l'occasion, et M. Thimoléon eut la gentillesse de me faciliter grandement les choses, en se rendant très disponible (alors que moi je l'étais fort peu !). Bien entendu, Arwen était partante pour les saillies, et elle me donna 9 beaux bébés le 24 janvier 2011. Pour sa deuxième portée, Arwen marqua des points: je la laissai accoucher et élever ses chiots où elle voulait, mais en échange elle se montra beaucoup plus assidue et appliquée, de sorte que le développement des chiots ne me donna pas d'inquiétude (en réalité, ils grandissaient comme les précédents, mais leur calme dû à la présence constante de leur mère me rassurait, à la différence de la portée précédente). De plus, Elanor, fascinée, était une baby-sitter et une nounou très consciencieuse, alors les petits ne se sentaient jamais seuls ! Cette fois j'avais 6 femelles, que de choix, et finalement je me laissai séduire par la couleur de la petite Galadriel. Je trouvais ces bébés très mignons, et très calmes, peut-être grâce à la plus grande implication de leur mère ? Ils m'ont laissé d'excellents souvenirs, et Galadriel se révèla une chienne déterminée, équilibrée, très intelligente, et si facile à vivre ! Et elle sut très facilement s'intégrer à la meute: même Lili semblait l'apprécier.
Poursuite à vue sur leurre (PVL)
Les entrainement de PVL ont commencé au printemps 2010. Bien entendu, je
n'ai même pas demandé à Lili si elle voulait y participer: me voyant prendre
les laisses pour sortir, elle est partie se cacher comme d'habitude ! Arwen,
Elanor et Elendil ont beaucoup aimé. Arwen fut conquise d'emblée, Elendil
aussi, Elanor paraissait tentée mais elle répugnait à s'éloigner de sa mère,
même pour poursuivre un leurre aussi attirant. Au bout de quelques
séances, elle avait grandi (dans sa tête), et se donnait à ce sport avec
la même passion que les deux autres. Il nous est même arrivé de participer aux
entraînements du Club Catalan des Lévriers de Sport, sur cynodrome.
Les compétitions commencèrent le 11 septembre 2010. Mes chiens ne voient pas
la diffférence avec les entrainements: du moment qu'ils peuvent poursuivre le
leurre, le reste c'est des finasseries d'humains. Si un juge prétend
leur donner une note, grand bien lui fasse ! Et c'est ainsi quArwen s'est
retrouvée avec 2 Excellents (en 2 épreuves). Elanor a du attendre d'être
confirmée pour participer aux compétitions (l'attente ne lui a pas paru trop
pénible puisqu'on lui laisse faire au moins un galop d'entrainement après
l'épreuve officielle). Elendil, exclu des épreuves officielles par sa
castration, participe avec joie aux entraînements, et arrive en général à faire
un petit galop lors des épreuves, grâce à la gentillesse des organisateurs.
11 septembre 2010 PVL à Perpignan: Arwen EXCELLENT
10 octobre 2010 PVL Spéciale à Carcassonne: Arwen EXCELLENT
21 novembre 2010 PVL à Perpignan: Elanor EXCELLENT
Dès qu'elle fut en âge, Galadriel a commencé sur de petites longueurs, avec
enthousiasme !
30 octobre 2011 PVL à Perpignan: Elanor EXCELLENT, Arwen EXCELLENT
les expos
Arwen avait eu son premier Excellent (classée Deuxième) le jour de sa
confirmation (Montellier 2009). Puis j'ai oublié les expositions
pour un an et demi. Lorsqu'Elanor fut en âge de participer en classe
jeune, je l'engageai à Pierrelatte (juillet 2010), où elle eut aussi son
Excellent. Je fus sous le charme du juge,
Madame Desquartiers-Diacquenod, qui me redonna le goût de ces
manifestations. Alors en octobre 2010 mes deux filles se retrouvèrent à
Cransac à la Régionale d'Elevage du Club. Excellent toutes les deux
(Arwen classée Troisième). Ce titre permit à Arwen d'obtenir le titre de Sujet Recommandé.
Montpellier 25 janvier 2009 (Exposition Internationale): Arwen Deuxième EXCELLENT (classe jeunes)
Pierrelatte 4 juillet 2010 (Exposition Nationale): Elanor EXCELLENT (classe jeunes)
Cransac 17 octobre 2010 (Exposition Régionale d'Elevage): Arwen Troisième EXCELLENT (classe ouverte)
Cransac 17 octobre 2010 (Exposition Régionale d'Elevage): Elanor
Sixième EXCELLENT (classe jeunes); du coup, Elanor avait assez de
résultats en expositions pour être recommandée elle aussi, il ne me
restait plus qu'à lui trouver une PVL SPECIALE.